Genévrier présente la raiponce en épis (Phyteuma spicatum) au groupe. Tous les participants sont surpris de réaliser que cette belle plante s'est installée dans tout le bois ! |
Cueillette de fleurs de sureau noir (Sambucus nigra). Elles seront parfaites pour préparer une succulente limonade, servie en apéritif. |
Le couteau et la planche à découper restent les meilleurs outils pour préparer les plantes sauvages sans les dénaturer. |
Les participants découvrent l'égopode (Aegopodium podagraria), de la famille des Apiacées. Pour bien la connaître, il faut l'observer, mais également la toucher et la sentir ... |
Après la découverte ... la cueillette ! Ces raiponces en épis (Phyteuma spicata) seront délicieuses une fois cuite à la vapeur et servies avec un filet d'huile d'olive et de citron. |
Pétales de coquelicot (Papaver rhoeas), fleurs de lamier tacheté (Lamium maculatum) et d'ail des ours (Allium ursinum) pour décorer la salade de stellaire aquatique (Myosoton aquaticum). |
Ah le tilleul (Tilia sp.)... cet arbre dont virtuellement toutes les parties se mangent ou sont des sources de médecine douce. Avec ses feuilles en forme de coeur et sa capacité à aider à se relaxer et à trouver le sommeil, on peut vraiment dire qu'il a vraiment été gâté par la nature celui-là ! |
Excellent exemple d'une plante à la fois comestible et toxique : les stagiaires furent bien étonnés d'apprendre que les frondes de la fougère aigle (Pteridium aquilinum), à l'aspect surprenant, pouvaient, correctement préparées, se consommer. C'est d'ailleurs un légume couramment consommé au Japon. |
Discrètes et tendres, les capitules de pâquerette (Bellis perennis) ne se contentent pas d'égayer les pelouses : elles font aussi de bonnes décorations comestibles pour les salades. Elles y apportent une touche florale des plus rafraîchissantes : les essayer, c'est les adopter. Il est également possible de les consommer cuites, notamment en gâteau !
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